L'art, la liberté d'expression, la liberté de l'être, l'humain, la sexualité positive, l'intelligence émotionnelle, le partage, les rencontres, des événements divers, des ateliers et des spectacles immersifs : tels sont les maîtres-mots qui reviendront fréquemment à vos oreilles et que la plateforme essaye de promouvoir. Mais Golden Indigo, c'est aussi et avant tout un mouvement, une vision du monde, un état d'esprit.
Nos problématiques ?
Nous sommes tellement connectées, que nous nous déconnectons de la réalité et que les réseaux sociaux actuels, ont plus tendance à nous rendre asociaux que sociaux. Quelle ironie non ?
La toxicité que nous fait éprouver toujours plus les réseaux sociaux actuels nous éloignes les uns des autres.
A force que la société nous impose ce qui doit être normale, nous nous déshumanisons chaque jour un peu plus de l'essentiel et de ce qui fait de nous des êtres humains, en commençant par notre identité, nos croyances et nos différences qui sont ; notre plus bel atout et notre plus belle force pour : briller, exister et s'affirmer.
La montée de l'obscurantisme, la désinformation et la dépersonnalisation au détriment de nos libertés individuelles durement acquises, ainsi que la liberté d'expression est à bout de souffle, voir censuré.
La stigmatisation derrière le sexe et la négativité qui entourent le mot sexe. Lui-même faisant partie intégrante de notre humanité. La sexualité devrait être abordée de manière positive et non culpabilisante, sans devenir vulgaire ou être automatiquement associé à la pornographie. Il n'y a qu'en commençant par célébrer la diversité sexuelle et la diversité des genres, qui pour rappel fait partie intégrante des premières démarches vers l'acceptation de soi et de notre identité. Que nous pourrons irrémédiablement aller vers plus de tolérance et de bienveillance, et ce, quelles que soient vos différences ethniques ou genrées.
Notre solution ? Cultiver une communauté safe et libre à son image autour de valeurs saines et communes. Reconnecter chaque individu autour d’un réseau social à l’aide d'interactions sociales cherchant notamment à renouer avec le réel, autour d'évènement privées entre membres permettant à tout à chacun de revendiqué ouvertement sa sexualité et son genre, sa liberté d'être, l’art, la liberté de mieux s'informer et l’humain afin de vivre des expériences uniques à travers des ambiances festives et/ou multiculturelles. Mais Golden Indigo, et avant tout un mouvement progressiste qui se veut bousculer les codes, réinventer les mœurs sociales et sortir des étiquettes établie dans un monde qui évolue et qui change, car après tout, qu'est-ce que la normalité ?
Et si nous vous disions, que le Golden Indigo offre l’opportunité de vivre de nouvelles expériences aussi bien sociales que spectaculaires en reconnectant les personnes entre elles ?
Et si nous vous disions que vous avez le pouvoir si l'envie vous en prenait, de créer un autre schéma : Vôtre schéma.
Parce que l'être humain n'est pas un bout de jambon ! Être libéré(e) se revendique comme un nouvelle état d'esprit qui vous libère des étiquettes préétablies afin de n’appartenir à aucun schéma, si ce n’est que chacun appartient à son propre schéma. Ce mouvement souhaite promouvoir la diversité des genres et le tournant d'une nouvelle époque libre et progressiste promouvant l'égalité en droit, centré notamment autour de l'humain, la liberté de l'être et des valeurs saines et respectueuse, donnant la possibilité à tout un chacun d'être soi-même afin de vous réapproprier votre libre-arbitre, vos croyances, vos pensées, votre identité, votre orientation sexuelle et de disposer de votre corps comme vous l'entendez.
Être libéré(e) est un état d'esprit philosophique qui ne se rapporte pas à une personne, ni à la sexualité d'ailleurs mais à un mouvement réfléchi pour la liberté de l'être autour de l'humain, reflétant des valeurs communes et essentielles telles que le don désintéressé, le partage, le respect, la tolérance ou encore la bienveillance, invitant chaque individu à se libérer du regard de l'autre et se rapprocher de personnes ouvertes d’esprit, atypique et désireuses de promouvoir cette fureur de vivre qui nous habites à travers l'ivresse humaine, l'expression libre, l'amitié, l'amour, la sexualité positive, l'art, la cérébralité, l'intelligence émotionnelle et l'envie de se reconnecter au monde réel.
Fuyant le virtuel et cherchant à s’émanciper des codes sociaux et des apparences, ce mouvement implique des personnes désireuses de réinventer les mœurs sociales et les étiquettes établies par la normalité et imposées par la société comme seule et unique façon d'exister, qui ne tient plus et ne prend plus en compte l'évolution et les besoins de chaque individu.
Être libéré(e) est un mouvement qui impose à tout un chacun de s'interroger et de s'exprimer sur l'état de nos maux et nos envies profondes, afin de s'approprier ou de se réapproprier nos opinions, nos pensées, notre corps et notre sexualité comme nous l'entendons. De mieux se découvrir ou se redécouvrir sans les jugements et les préjugés de la société qui nous rabâchent sans cesse des pensées limitantes. Entre la couleur bleue soi-disant faite pour les garçons et la couleur rose pour les filles, les exemples sont nombreux et les preuves flagrantes. Mais est-ce pourtant inéluctable ?
Être libéré(e), c'est être à l'aise avec son corps et avoir acquis un état de conscience de ne ressembler à aucun schéma, si ce n'est qu'à soi-même, en respectant les différences de chacun, quelles qu'elles soient.
La multiplicité des buts poursuivis par les participants actifs au sein de ce mouvement appelé “libéré” fait que Golden Indigo n’a pas qu’un seul centre d’intérêts. Il appartient à chacun, étant tous différents, de décider comment il ou elle désire manifester sa liberté et contribuer à ce qu’il ou elle entend donner à la communauté parmi tous les sujets abordés. Quelles que soient la ou les thématiques recherchés, les participants sont encouragés à imaginer les moyens et les possibilités infinies qui permettront de faire prendre corps et esprit aux interactions sociales de demain.
La société a pris pour habitude de conditionner le monde qui l’entoure et vous faire culpabiliser dès que vous sortez des clous de la normalité au détriment d’autrui. Elle vous expliquera indirectement que vous êtes défaillant en vous pointant du doigt, prenant en otage les différences des uns et en insultant les autres : au mieux d’artistes et au pire de fous…
En d’autres termes, à les entendre, pour s’autoriser à être différent dans notre système, il faudrait obligatoirement être un artiste de peur d’être pris pour un fou ? Quelle ironie, non ? Pourtant, comme le disait Einstein :
«La folie, c’est de répéter les mêmes actions, ou les mêmes erreurs, en espérant des résultats différents.»
Le plus dur étant… de sortir de sa zone de confort pour vivre un schéma alternatif qui vous est propre.
Qu'est-ce que la normalité ? Si ce n'est un concept, une doctrine au-delà de tout bon sens, que nous impose la société, qui nous désert plus qu'elle nous sert et qui n'est pas toujours le reflet de notre propre vérité profonde. Une vérité tout aussi subjectif que peut l'être la vérité de votre voisin et qui vous appartient.
L'important, n'est pas ce que vous pensez être, l'important, c'est ce que vous désirez être, maintenant et toute suite.
Oublions ce que vous croyez et/ou pensez connaître, car à l'instant où vous pensez, vos pensées conscientes ont une vitesse de 2000 bits par seconde pendant que vos pensées inconscientes ont une vitesse de 400 milliards de bits à la seconde. Ce que nous pensons être n'est qu'une fraction de ce que nous sommes vraiment, faute d'être influencée par la société et notre entourage.
À l'instant où on comprend ça, ce ne sont plus nos croyances, nos pensées, ni notre passé qui détermine ce que nous sommes, mais nos actes qui renforcent nos croyances et nos valeurs. Les croyances sont faites pour évoluer, car la confusion est de croire que nos croyances sont notre identité. Cela est dangereusement erroné, car en réalité, nos croyances ne sont pas notre identité, mais l'expression de nos valeurs.
Si vous voulez avoir une vie et des histoires différentes et différenciantes, afin de sortir de votre quotidien et d'un schéma qui n'est pas le vôtre, il faut parfois apprendre à se réapproprier qui l'on est et qui l’on a envie de devenir pour remettre les compteurs à zéro et sortir des pensées limitantes, apprises depuis notre tendre enfance.
Maintenant ; Si on vous dit un mensonge assez de fois, ça devient une partie de votre réalité. Maintenant ; si vous racontez un énorme mensonge fréquemment, il sera considéré comme la vérité.
Et si le mensonge a été répété suffisamment de fois ? Cela fera partie de la culture.
Et si cette culture a été répétée assez de fois cela devient une tradition. Mais ce n'est pas parce que nous avons une tradition, qu’elle est moralement acceptable, et qu'il y a une seule manière de vivre ou d'aimer.
Les traditions et la moralité ne sont pas toujours liées. Il suffit de regarder derrière nous, et de prendre à titre d'exemple l'esclavagisme, le refus du droit de vote accordé aux femmes ou l'idée que l'homme blanc est supérieur, comme l'idéologie nazie…Aujourd'hui, nous sommes bien d'accord, cela nous paraît ridicule. Avant, il n’en était guère le cas… Alors en quoi s’accepter selon nos différences, se réapproprier ses pensées, son corps, son génie, son genre ou encore toujours à titre d'exemple ; de pratiquer une sexualité librement consentie avec une approche d'une sexualité bienveillante et positive ne serait-il par exemple pas cohérent aujourd'hui ?
Quittons une bonne fois pour toutes l'obscurantisme et le schéma d'une société contrôlée par le mensonge et la diffusion de fausses informations où la doctrine actuelle nous sert du pain et des jeux pour mieux vous faire regarder ailleurs et détourner ainsi votre attention sur des vraies problématiques humaines, sociétale et existentielles comme la liberté d’expression ? L'identité des genres ? Le droit à l'avortement ? La censure sur les réseaux sociaux ? La revente des données sur internet ? Rendre plus équitable et plus juste nos démocraties occidentale ? Et bien d'autres problématiques existentielles entravant ainsi nos libertés individuel et collectives.
La société réprouve ce qu’elle ne comprend pas. Vous croyez ? En réalité, c'est bien pire que cela… La société à surtout peur des différences parce qu’elle est terrifiée à l'idée du changement et de ne pas pouvoir contrôler son entourage, car elle est enfermer derrière des croyances limitantes tournée vers le passé, selon laquelle ; il n'existerait qu'une seul manière de vivre à coup de pensé unique. Sinon, cela ferait bien longtemps qu’elle nous aurait incités à nous aimer les uns les autres, depuis le temps que Jésus, Bouddha et tous ses prophètes sont passés par là.
Après tout, qu’est-ce que cela signifie vraiment être “normal” ? Si ce n’est un mot inventé de toutes pièces au-delà de tout bon sens, qui nous enferme dans des cases et nous impose des étiquettes préétablies. Nous éloignant de ce fait ; de notre propre vérité profonde qu’est la nôtre pour mieux contrôler qui nous sommes. Être normal est subjectif autant que l’est la vérité, tout est une question de perspective. Cela appartient à nos croyances et nos croyances n'est que l'expression de nos valeurs, appartenant à notre vécu passé, qui en découlent de nos choix influencés trop souvent qu'on l'admette ou non. Dès lors, comment pouvons-nous ne pas douter de tout ?
Fuyons ses guerres inutiles autour d'un système patriarcal et matriarcal totalement dépassé, cherchant constamment le conflit et la lutte entre les femmes et les hommes pour savoir "qui aura l'ascendant sur l'autre". Deux modes de pensés, créant tout deux des fractures civilisationnel grave, n'apportant que désordre et mépris entre personnes misogyne ou misandre. Commençons simplement par vivre, travailler et réfléchir "ensemble" autour des mêmes valeurs, vers un monde meilleur semble être la meilleur solution. Quel que soit notre genre, notre image, notre corps ou nos croyances. Apprenons à s'approprier ou à se réapproprier tout cela en réapprenant à vivre ensemble avec nos différences.
Socrate : “L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit."
Aristote : "il n'y a point de génie sans un grain de folie !"
L'échec du couple dans notre société moderne, c’est de s’être laissé asphyxier par le besoin de se conformer au modèle traditionnel qui ne tient plus, et ne prend pas en compte l'évolution des besoins des individus.
L’échec du couple c’est d’avoir rendu immoral tout autre modèle différent du modèle traditionnel d’origine.
A fortiori, si nous admettons que nous évoluons tous selon notre propre modèle, nous oublions qu’avant d’être des personnes civilisées, nous sommes également des animaux gouvernés par des instincts primaires. Nos émotions et nos pulsions ne sont ni plus ni moins que le fruit de notre humanité qui nous rappelle sans cesse que nous sommes juste des êtres humains.
La réalité ? C’est que l’hypocrisie tue cette société petit à petit et qu’il serait temps d’écouter nos différences et d'accepter qui nous sommes. Arrêtons de nous blâmer, ou pire ! De nous voiler la face au nom d’une éthique conventionnelle et rappelons-nous que des civilisations proches comme le XVIII siècle au temps des lumières et des salons littéraires d’antan ou des civilisations millénaires antérieur à la nôtre, comme la Grèce antique ont encore beaucoup à nous apprendre et étaient plus consciente et bien plus ouvertes sur les cultures du monde qui les entourait.
On nous apprend qu'aimer, c'est posséder l'autre et pourtant, ce sont deux antipodes l’un pour l’autre. On utilise la jalousie pour pouvoir contrôler voire posséder l’autre à l’aide de chantage affectif au point que nous ne savons plus faire la différence entre l'amour et l'attachement, ou entre l'amour et le désir. Est-ce une fatalité ? Nous pensons que non ! Et souhaitons simplement informer nos lecteurs que l'amour n'est plus l'amour s'il y a de la souffrance. C'est strictement impossible. Si un couple se sépare et qu'il y a de la souffrance, ce n'est pas de l'amour, mais de l'attachement.
La jalousie dans un couple n'est que la manifestation d'un attachement de ce qu'on prend pour acquis, à travers la valeur qu'on donne à une personne et qu'on peut perdre. Mais étant donné que personne ne nous appartient, comment pouvons-nous perdre quelqu'un ? Plutôt que d'entretenir la peur de perdre une personne et d'être attaché à la valeur qu'on nous accordent, apprenons à cultiver notre propre valeur.
On nous dicte notre conduite et comment nous devrions vivre et penser, mais pourquoi tant se priver ? Au besoin de qui ? Je vous le demande.
A l’heure de la désinformation et du tout toute suite ! Arrêtons les excuses et l’infidélité quand il suffirait juste de "communiquer" avec son alter-ego, en lui expliquant simplement vos attentes pour ainsi mieux s’épanouir librement et sexuellement en exprimant ouvertement vos envies. Malheureusement, nous l’avons oublié.
Aimer, quelle que soit la manière de l’exprimer, c’est en partie laisser la liberté à son ou sa partenaire de grandir, vivre ses propres expériences et se sentir ainsi encore plus vivants à deux ! L’amour n’est plus l’amour mais une spirale infernale où le serpent se mord la queue si finalement nous nous oublions et nous nous sentons enfermés dans une cage à ne pas pouvoir être nous-mêmes. Réfléchissons ensemble à un monde meilleur !? Et sur d'autres schémas alternatifs d'aimer, de vivre sa sexualité, de pensée et sur comment vivre notre vie et ses relations avec son entourage selon nos envies ? Car après tout, on as qu'une vie.
Selon Marianne Williamson, "Rien ne vous emprisonne excepté vos pensées. Rien ne vous limite excepté vos peurs et rien ne vous contrôle excepté vos croyances."
LE MANIFESTE
Ne vous y trompez pas ! La sexualité n'est ni bien ni mal ! Tout dépend simplement de comment vous l'abordez car la sexualité fait partie intégrante, qu'on l'admette ou non, de notre humanité…
Alors Pourquoi la sexualité positive ? Car, pour bien comprendre toute l’entièreté et toute la complexité qui fait de nous des êtres humains, il faut d’abord accepter l’idée que la sexualité fait partie de notre humanité et fait partie intégrante de notre identité et des premières démarches pour l’acceptation de soi et de l’acceptation des différences envers autrui.
Que signifie pour vous la Sexualité Positive ? Pour beaucoup, à cause de son étendue et de ses nombreuses thématiques, il est assez flou et difficile d’en donner une définition exacte tant les concerné(e)s sont nombreux(ses). Cependant, voici un aperçu écrit par le Golden Indigo pour éclairer la conscience collective.
La sexualité positive célèbre par essence la diversité des genres, la diversité sexuelle, les schémas relationnels différents, et les choix individuels basés sur le consentement mutuel. Plus encore, la sexualité positive assujettie aux valeurs du "Golden Indigo" nous encourage à disposer de notre corps, quel que soit notre genre, et sollicite la bienveillance et la tolérance qu’on puisse désirer et avoir l'envie de s'adonner à une sexualité libre avec qui on veut, ou avec personne. Les exemples sont nombreux et il appartient à chacun(e) d'être en phase avec soi-même quelles que soient nos différences, notre genre ou notre orientation sexuelle.
Wilheim Reich, un célèbre psychanalyste et précurseur de la sexualité positive, défendait l’hypothèse que la sexualité était comme positive et bénéfique pour la société, alors que d’autres la voient encore et toujours comme quelque chose de négatif. La sexualité positive est un mouvement à lui tout seul qui nous enseigne une vision de la sexualité comme quelque chose de sain qui fait partie intégrante de notre humanité et devrait être considérée comme non-culpabilisante, encourageant de ce fait ; la liberté sexuelle et l'expérimentation sexuelle.
Bien entendu, la sexualité se doit d’être respectueuse des envies et des attentes de chacun(e). Elle n’est ni sale, ni dégradante, ni répugnante, et ça peut vouloir dire ne jamais ressentir de désir. En ressentir sous certaines conditions, en ressentir tout le temps ou pour certaines identités de genre et pas d’autres, etc...
Certes, la sexualité n’est pas obligatoirement inhérent à notre plateforme et n'est ni une finalité en soit. Cependant, faisant partie de l'une de nos thématiques, nous avons ce sentiment de devoir réapprendre à chacun comment mieux vivre selon nos différences par l'effort collectif que vous êtes seul(e) juge et maître de votre corps, de vos pensées et de pratiquer votre sexualité comme vous l'entendez.
NOTRE MESSAGE SUR LE SUJET ?
Décomplexifions la sexualité, supprimons la stigmatisation derrière le sexe et la négativité qui entoure le mot sexe lui-même qui fait partie intégrante de notre identité et qui peut être abordé de manière positive sans devenir automatiquement vulgaire. Dénoncer l’hypocrisie de la société et l’image de la pornographie comme l’unique vérité. Dénoncer la publicité et un monde ultra sexualisé qui n’hésite pas à faire passer la femme ou l'homme à titre d'exemple pour un bout de jambon, pendant que c’est le monde lui-même qui nous fait en premier la moralité en exploitant et utilisant la sexualité à outrance ! Qu’attendez-vous pour vous réapproprier votre corps ? Nous ne sommes plus au MOYEN-ÂGE ! Évitons simplement l'obscurantisme plus longtemps !
(Pour plus d'information sur le sujet, rendez-vous sur la FAQ)
Si tant-est qu’il y en ait un…
Certes, il faut rester optimiste ; mais la réalité demeure que les gens ont, pour la plupart, arrêté de se chercher. Voilà le problème. Après tout, à quoi bon réfléchir quand la société nous dicte comment penser, comment vivre et avec qui à travers un modèle de pensé unique.
Forcément, comment ne pas culpabiliser en vue d’un tel monde paradoxal, quand ils nous rappellent sans cesse que c’est mal de s’accepter humainement et sexuellement avec nos différences ?!
Le monde ne tourne pas autour d’un modèle prédéfini tel que la télévision, les stars ou la société veulent bien nous le faire croire. Le monde tourne surtout autour de nos choix qui sont trop souvent influencés, qu’on l’admette, ou non.
Des choix qui font de nous nos croyances, nos croyances qui font de nous nos valeurs, nos valeurs qui font de nous notre identité. Nos croyances sont le reflet d’un équilibre illusoire de ce que l’on est réellement faute d’être influencé par notre système mais aussi faute d’être influencé par notre entourage. On arrive tôt ou tard à un mal être sociétal profond et à se poser des questions existentielles.
Que se passe-t-il chez moi ? Ai-je un problème ? Suis-je différent ? etc...
Oublions ceux qui cherchent à nous dicter notre manière de vivre en nous posant les questions appropriées et préservons notre jardin secret en le cultivant et en commençant par mieux s'entourer et en ayant un regard tourné vers un avenir radieux.
